Ces conceptions sont des explorations d`idées reliant l`art et la science à l`architecture. En 2006, Gillian Lambert, étudiante à l`architecture londonienne, a fait entrer le temps dans le mélange. Ses beaux dessins pour une “maison de Studio pour un architecte obsédé par le temps” ont été, elle m`a dit, inspirée par la peinture sensationnelle de JMW Turner Snow Storm-Steam-Boat off a Harbour Mouth, à partir de 1842. Idéalement situé près de la Tamise, “les espaces à l`intérieur de la maison sont floues car la pluie tombe du plafond dans un puits en dessous; la brise dans l`air est filtrée à travers les murs, à travers des poches de lumière du jour et des zones cachées dans les ombres sombres. Les intérieurs reflètent la nature imprévisible et dynamique des conditions extérieures. En engageant des dessins, des modèles, des vidéos et des installations, le spectacle enquête sur la maison comme un moyen d`explorer des idées architecturales qui s`engagent avec les préoccupations de l`art. Il se penche également sur le travail des artistes qui ont fait de la maison un foyer de leur créativité, et par implication il soulève la question admirablement répondu par Palladio et Paulo Almerico: la maison peut-elle être une œuvre d`art? L`artiste gagnante du prix Turner, Rachel Whiteread, a fait quelque chose de similaire dans les années 1990, d`abord avec Ghost (1990), un plâtre de l`intérieur d`une maison victorienne, puis avec House (1993), un casting de béton ambitieux et convaincant de l`intérieur d`un ensemble maison de trois étages est de Londres, endommagé pendant le Blitz. Bien que seulement destiné à être temporaire, House a réveillé les critiques et a remporté Whiteread le prix Turner. En exposition dans un parc public, le Conseil local a démoli le casting avec une joie incontenue. Ni patron ni architecte ne vécurent pour voir la Rotonda achevée. Ici, cependant, une chose de beauté était en effet une joie pour toujours. Serein, symétrique, lacé avec un symbolisme religieux subtil – son plan une croix située dans un carré dans un cercle imaginaire – et avec des portiques ioniques classiques face aux quatre points cardinaux de la boussole, cette maison exquise a relié le paysage à la ville tout en la fusion de l`art à l`architecture. Voici un idéal de la Renaissance fait parfaitement réel.

La question est opportune étant donné que le problème du logement de la population mondiale en croissance rapide a conduit à l`étalement de banlieue intense ainsi que la propagation des bidonvilles-sans parler des maisons et des maisons, que ce soit bon marché ou coûteux, qui sont aussi loin de l`art comme la colline favelas de Rio de Janeiro proviennent des pentes saluées de Vicence. Si tout cela sonne très` 60s, d`une certaine façon c`était. Le Corréalisme et la maison sans fin devaient influencer des architectes comme Frank, qui en 1998 a été le premier récipiendaire du prix Frederick Kiesler pour l`architecture et l`art. Le Musée Guggenheim Bilbao d`époque de l`époque de l`année précédente a scellé la réputation de l`architecte californien dans des plis fluides de titane éblouissant. Vingt ans plus tôt, il avait acheté une modeste maison de style colonial hollandais datant de 1920 à Santa Monica, la conjurant dans une maison familiale magique, tous les angles curieux, les matériaux de travail et, oui, une continuité (et la fragmentation) de l`espace, des objets, des concepts et Art. En 1565, Paolo Almerico, un haut fonctionnaire des cours pontificaux de Pie IV et V, se retira du Vatican à Vicence, dans le nord-est de l`Italie.